Incertitude sur la nomination d’un nouveau Gouvernement.
Incertitude sur la nomination des Députés qui deviendront membres de la Commission de surveillance de la Caisse des Dépôts et de sa Présidence.
Incertitude sur les orientations en matière sociale.
Incertitude sur les rémunérations.
Incertitude sur l’Emploi.
Dans ce climat instable, l’action syndicale prend toute sa valeur, que ce soit au niveau national, de la Fonction publique et pour ce qui nous concerne, ici, de la Caisse des Dépôts.
La relance du dialogue social doit s’inscrire dans les priorités de nos dirigeants. L’UNSA l’a rappelé à maintes reprises à Éric LOMBARD cet été.
Que ce soit en rapport avec le feuilleton sur le changement de statut d’Olivier SICHEL, ou sur le manque d’ambition et de propositions nouvelles et concrètes de la DRH dans le cadre des négociations en cours (Qualité de Vie et des Conditions de travail, Prime de Partage de la Valeur, régularisation des emplois précaires de CDP) et à venir (accord-cadre 2026-2028, accord sur la redistribution d’une partie des résultats).
La dégradation du climat social est tangible ; le manque d’équité entre les cadres dirigeants et les personnels se manifeste chaque jour dans les services.
Depuis des années, l’UNSA est force de propositions.
Elle négocie et recherche le compromis pour faire progresser les acquis sociaux des personnels — c’est dans son ADN.
L’UNSA compte prendre sa part en cette rentrée sociale pour parvenir à des accords novateurs sur le temps et les conditions de travail, sur les questions d’égalité et de lutte contre les discriminations, sur l’aménagement des fins de carrière, sur les rémunérations et indemnités et plus généralement sur le bien vivre ensemble.
A quelques semaines de son 5ème Congrès qui réunira plus de 200 adhérent(e)s, l’UNSA aspire à un changement radical dans la manière d’aborder le dialogue social, qu’il est urgent de réhabiliter à la CDC.
