Le 18 juillet 2022, la DRH a présenté un projet d’avenant à l’accord télétravail qui contient d’ores et déjà :

  • 90 jours de télétravail occasionnel à distance. Ce passage de 45 à 90 jours correspond en partie à notre revendication initiale d’obtenir 135 jours de télétravail « libre ».
  • La possibilité d’avoir le matériel fourni par la CDC pour les agents permanents dès lors qu’un jour de télétravail, fixe ou flottant, est effectué.

L’UNSA note ces avancées !

Cependant, l’UNSA demande à la DRH d’être plus ambitieuse et revendique de :

  • Passer à 135 jours de télétravail occasionnel à distance (tout en conservant la possibilité d’avoir 1 à 3 jours de télétravail fixe par semaine).
  • Mettre en place des formules hybrides entre télétravail régulier et télétravail libre du type 1 jour fixe + 90 jours flottants ou 2 jours fixes et 45 jours flottants.
  • Augmenter le forfait d’indemnisation de télétravail de 2,50 euros à 5 euros.
  • Supprimer le plafond d’indemnisation de 220 euros.
  • Verser un forfait de 75 euros annuels pour le petit matériel pour les télétravailleurs.
  • Remplacer la condition de 2 jours minimum de présence sur site par semaine par un nombre minimum de jours de présence par mois.

L’UNSA, signataire avec la CFDT et la CGC, de l’accord télétravail portera toutes ces demandes lors des négociations qui reprendront à la rentrée.



L’UNSA est un syndicat réformiste et pragmatique. Nous gagnons des droits et nous n’avons de cesse, par la suite, de nous battre pour les améliorer.