Le 14 avril dernier, un vif débat a eu lieu en Conseil d’administration entre les élus du Cosog. Il portait sur des mesures à prendre concernant une fraude découverte par les services administratifs sur les prestations Loisirs d’un ouvrant droit détenant, par ailleurs, un mandat d’élu au sein de l’association (https://cdc.unsa.org/fraude-tricherie-ethique-des-comportements-incomprehensibles-et-inadmissibles/).
Si cet élu n’a pas jugé opportun de démissionner de ses mandats, il a tout de même reconnu les faits et remboursé les sommes des prestations Crédit vacances et Aide aux loisirs perçues indûment pendant 2 années consécutives.
Depuis ce Conseil et à la suite de plusieurs publications syndicales, les personnels ont découvert qu’il s’agissait d’un “camarade” CGT (https://cdc.unsa.org/cosog-la-cgt-de-letablissement-public-aux-abois/). Comme nous l’indiquions dans notre communication, l’UNSA ne souhaitait pas faire d’amalgame entre une personne et l’ensemble des membres de la CGT.
Le Secrétaire général de l’USCD CGT (syndicat CGT Groupe CDC) vient, dans un courrier envoyé le 5 mai dernier au Président du Cosog, de retirer tous les mandats de l’ouvrant droit fraudeur au sein du Cosog. Nous nous en félicitons et cela met fin provisoirement à ce mauvais feuilleton qui ternit incontestablement l’image du Cosog.
Restent les éventuelles poursuites judiciaires que peut diligenter la CDC en tant que membre de droit et principal contributeur du Cosog.
Certaines organisations syndicales reprochent à l’UNSA d’avoir mis sur la place publique cette affaire ! C’est leur droit, mais il n’était pas possible, à nos yeux, de faire l’autruche sur un sujet aussi grave, d’autant que l’UNSA détient la Présidence du Cosog.
Le Cosog est une belle association qui agit dans l’intérêt des agents, avec des personnels administratifs qui sont les garants de son bon fonctionnement et de sa neutralité en matière de distribution des prestations mises en place par les élus.
