Depuis des mois, l’UNSA interpelle la Direction générale sur le devenir de la SCET (filiale historique du Groupe CDC).

Aujourd’hui, nous sommes satisfaits du projet de redressement présenté au CMIC le 31 mars 2021 par le Directeur général de la CDC !

Toutes les parties prenantes se sont mobilisées pour travailler de façon investie sur le sort de cette filiale : organisations syndicales, Direction générale et Commission de surveillance.

Cette mobilisation collective a abouti à une issue positive : la Direction générale de la CDC, actionnaire à 100% de la filiale, vient de donner une nouvelle feuille de route pour les 3 années à venir avec le but de redresser financièrement la filiale, de la recentrer sur son cœur de métier le conseil, de maintenir les emplois et de mieux associer les personnels au plan de redressement.

La SCET est utile aux territoires, elle compte donc pour la CDC, il faut collectivement se mobiliser pour la redresser, sauver les emplois et protéger le capital humain au sein du groupe.  

L’UNSA pense qu’il sera nécessaire de :

  • Mettre en place une gouvernance adaptée et un suivi rapproché de l’actionnaire.
  • Construire et clarifier un modèle économique qui favorisera un pilotage financier plus performant.
  • Construire une politique RH renouvelée et partie prenante de la transformation.
  • Mettre en œuvre les conditions permettant un management participatif pour faire adhérer les salariés au nouveau projet d’entreprise et rétablir la confiance.
  • Instaurer un vrai dialogue social.

La CDC saura relever le défi si elle en a la volonté politique et opérationnelle.


L’UNSA se félicite que la Commission de surveillance et la Direction générale aient écartées toutes pistes de “vente par appartements” ou d’une cession totale de la SCET.


L’UNSA insiste particulièrement sur la nécessité de retrouver la confiance des salariés et de renouer un véritable dialogue social avec leurs représentants.