Comme nous vous l’avons précédemment annoncé, trois organisations syndicales minoritaires (CGT, CFE-CGC, SNUP) ont empêché, lors du Conseil d’administration du 27 mars 2025, la ratification par le Président du COSOG de la nouvelle convention avec la Direction générale de la CDC.
Par conséquent, le COSOG se retrouve dans l’incapacité de continuer à fournir des prestations aux personnels de l’Établissement public et des filiales à compter du 1er janvier 2026.
La Direction des Ressources Humaines (DRH) envisage, à cette même date, de reprendre en direct les activités sociales et culturelles pour les personnels de l’Établissement public. Les Comités Sociaux et Économiques (CSE) de l’AGR et des filiales associées devront, quant à eux, réassumer les activités précédemment conventionnées avec le COSOG au sein de chaque structure.
L’UNSA refuse la disparition du COSOG
Il est impensable que le COSOG disparaisse, d’autant plus que l’Assemblée générale de l’Association a adopté, à la majorité des deux tiers, les modifications statutaires le 26 mars 2025, grâce aux votes favorables de l’UNSA, de la CFDT et des représentants des filiales. Cela confirme que le COSOG peut continuer d’exister.
Actuellement, nous travaillons activement avec nos juristes afin d’explorer toutes les options possibles pour lever l’obstacle à la signature de la convention entre le COSOG et la Direction générale de la CDC.
Une minorité ne doit pas décider de l’avenir du COSOG
Il est inconcevable que trois syndicats représentant seulement 37 % des suffrages puissent mettre fin à l’existence du COSOG. Une telle décision ne peut émaner que d’une majorité.
Pour garantir la pérennité du COSOG, nous avons proposé l’organisation d’un référendum ouvert à l’ensemble des personnels. De plus, l’UNSA formulera prochainement des propositions concrètes au sein des instances du COSOG (Conseil d’administration et Assemblée générale) afin d’assurer la continuité de ses activités.
Dans cette attente, nous demandons à la Direction générale de surseoir à toute décision de reprise directe des activités sociales et culturelles actuellement gérées par le COSOG.
