La CFE-CGC était absente du dernier Conseil d’administration du Cosog de l’année et du mandat, sans même avoir pris la peine de s’en excuser.
Sans doute n’a-t-elle pas voulu assumer devant les administrateurs son action abusive en justice contre le Cosog, et la gifle cinglante dont l’a gratifiée la justice, en plus du camouflet essuyé auprès de la CNIL.
Autant de désaveux qui décrédibilisent totalement l’action de la CFE-CGC.
Donner des leçons et porter des accusations infondées semble bien plus facile pour cette organisation syndicale que d’en assumer l’issue ; surtout quand ces actes sont justifiés par une incapacité à convaincre les électeurs sur des idées de fond et constituent une manœuvre ultime pour continuer d’exister.
