Il y a quelques mois, lors de la réforme des statuts et de la convention de gestion proposée par la DRH de la CDC, le syndicat catégoriel CFE-CGC militait ouvertement pour la dissolution pure et simple du Cosog. Aujourd’hui, la même organisation s’emploie, avec une constance qui force presque l’admiration, à dénigrer systématiquement toutes les évolutions décidées démocratiquement par la majorité d’élus du Conseil d’administration.

Un catalogue de critiques… et de contre-vérités

Quelques exemples parlants :

• L’Aide aux vacances : vilipendée par la CFE-CGC alors qu’elle permet désormais, grâce à l’action de l’UNSA et de la CFDT, de choisir librement son prestataire ou de bénéficier d’une aide allant jusqu’à 720 €, en une ou plusieurs fois.
• Le Compte à points : caricaturé et mal expliqué par la CFE-CGC, qui diffuse des informations fausses sur son évolution, alors qu’il sera demain plus équitable pour l’ensemble des ouvrants droit.
• Les voyages : systématiquement dénigrés, qu’il s’agisse des destinations ou du nombre de places disponibles… tout en votant contre le budget annuel qui permet justement de financer ces prestations !
• Le “chèque en blanc” uniforme : la CFE-CGC milite pour un versement identique à tous, sans tenir compte ni des salaires, ni des charges familiales, ni de la diversité des besoins. Une proposition qui priverait plus de 75 % des agents d’un gain réel de pouvoir d’achat et signerait la disparition de la quasi-totalité des emplois administratifs du Cosog.

Une posture de démolition plus que de construction

Toujours prompte à jouer les détracteurs, la CFE-CGC bénéficie pourtant d’un soutien constant de la Direction, qui n’hésite pas à lui accorder des moyens supérieurs aux droits habituels. Plutôt que de s’acharner à dévaloriser l’association, cette organisation ferait mieux d’investir dans le travail collectif : participer aux réunions (en présentiel plutôt qu’en visio), proposer des améliorations concrètes, et s’impliquer réellement dans la vie démocratique du Cosog. La lecture des procès-verbaux est édifiante sur l’ampleur de son absentéisme et de son désintérêt pour le fond des dossiers.

Le Cosog : un service pour tous, pas pour une minorité

Le Cosog, lui, continue de délivrer des prestations de qualité à toutes les catégories de personnel. Contrairement à la CFE-CGC, qui souhaitait confier directement à la DRH la gestion des prestations sociales – autrement dit mettre fin à leur gestion par les représentants des personnels – l’UNSA, avec la CFDT et la CGT, a validé le 30 avril 2025 la nouvelle convention qui assure la pérennité de l’association.

Nous continuerons à défendre un haut niveau de prestations sociales, dans l’intérêt de tous les ouvrants droit, et non d’une minorité catégorielle.
N’en déplaise à ceux qui préfèrent critiquer plutôt que construire.

Vous pouvez compter sur l’UNSA pour maintenir un haut niveau de prestations au Cosog !